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                                                                              Paul Schwartz






    Genre : new-age, neo-classique

    Présentation : Paul Schwartz vous est très certainement étranger, vu qu'il est depuis ses débuts inconnu du « grand public ». Moi-même je l'ai découvert par hasard, sur un site consacré à toutes les sortes de musique (mes remerciements à http://www.muchmusic.net/ qui est une véritable mine d'or), où je cherchais en réalité des extraits audio de « secret garden », un groupe de musique folk-classique.

    A quoi vous attendre : A de la musique plutôt mélancolique et traînante. Cela se rapproche du classique, même si ce n'en est pas, car le synthé est présent dans certains morceaux. Plusieurs sont toutefois purement traditionnels, c'est-à-dire interprétés par un orchestre (accompagné parfois d'un chant lyrique – toujours réalisé par la même soprano.
    Mais si l'orchestre a une place évidente dans les œuvres de Paul Schwartz, un nombre significatif de pièces ont été faites uniquement pour piano (ou piano et violon).

    Avis : Pour les amateurs de musique romantique, Paul Schwartz est toujours là et même si il ne peut égaler Chopin et les autres Grands, cela reste un plaisir de découvrir ses œuvres. C'est de la qualité, alors ne vous privez pas !!!

    Liens audio :
    http://sharez.cn/default.asp   (re-direction vers un blog ou vous trouverez des albums en téléchargement)

    Site officiel : http://www.paulschwartz.com/home.php


    Discographie :

    * =  le meilleur

    Earthbound  *

     
    Présentation : Un album construit sur la thématique de la nuit, concentrant des pièces oscillant entre le romantique et le tragique. Ne pas passer à côté de « nocturne » (piano)

    1 . Vol de nuit
    2 . Earthbound
    3 . Il gioco
    4 . Nevemore
    5 . Rivers of stars
    6 . Thalaster
    7 . How many fools *
    8 . Ravens
    9 . The dark of the night
    10 . Nocturne *
     
    Aria I
     
    1 . Willow
    2 . Un bel di
    3 . Secret tear
    4 . Dido
    5 . Pace pace
    6 . Pamina blue
    7 . Habanera
    8 . Home
     
    Aria II
     
    1 . Arianna
    2 . Ebben
    3 . Addio
    4 . Horizon
    5 . Barcarolle
    6 . Cantilena
    7 . Sviraj
    8 . Interlude
    9 . Pavane
    10 . Ave maria
    11 . Leiermann
    12 . Lullaby 





    Aria III *

    1 . Ombra mai fu  (by Handel)
    2 . Furioso* (by Handel)
    3 . Sogno * 
    4 . Metamorphosis 2 : Danae *
    5 . Ballo
    6 . L'orchestre engloutie
    7 . Amami
    8 . Lascia * (by Handel)
    9 . Metamorphosis 3 : Cyane *
    10 . Ascencion (by MonteVerdi)
    11 . Metamorphosis 1
     
    State of grace I *
     
    1 . Veni redemptor gentium *
    2 . Amazing grace
    3 . Miserere
    4 . Veni creator spiritus *
    5 . Anguries of innocence : part 1 *
    6 . Anguries of innocence : part 2 *
    7 . Be still my soul
    8 . Angelica *
    9 . Simple gifts
    10 . State of grace
     
    State of grace II
     
    1 . magnificat
    2 . Turning to peace
    3 . Curacion
    4 . Stabat mater
    5 . Quia respexit
    6 . Fear not
    7 . Et misericordia
    8 . Suscepit israel
    9 . Ave maria
    10 . Gloria
    11 . Let me
     





    Les albums qui n'ont pas de * ne sont pas forcément mauvais, c'est juste que je ne les ais pas écoutés.


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                                           La Main Enchantée


                                       (Gérard de Nerval)


     


    Résumé : Un bourgeois est en litige avec son neveu qui le méprise ouvertement. Un duel s'en suit. Mais le bourgeois, voulant s'assurer de sa victoire, va voir le bohémien qui pourrait l'aider...ou le manipuler.


    Avis : Une nouvelle très spéciale, assez courte et qui vous semble pourtant si longue ! L'action n'est pas des plus flagrantes et les descriptions (très esthétiques du moins) vont bon train. C'est un classique ! Et une espèce de fable d'Esope version longue : saisissez la morale! 


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  •                                              Chapître I



    Il faisait chaud, ce jour-là. Tellement chaud que lorsque neuf heures arrivèrent, huit heures quittèrent le cadran de ma montre bleu marine sous les assauts ardents d'un soleil infernal.
                  Tout justement, mon amie Elise, qui s'épongeait le front avec un mouchoir, me demanda ,après avoir expiré un soupir d'épuisement, l'heure qu'il était. Nulle fut ma surprise d'entendre un deuxième soupir accompagner ma réponse :
    -         Quoi ? Neuf heures ? Ca fait au moins deux heures qu'on attend et c'est toujours pas ouvert ! T'es sûre qu'on s'est pas trompées de jour ?
    Elise aurait voulu ravaler ses derniers mots : oh que non, on ne s'était pas trompées de jour. Et une foule monstrueuse amassée devant, à côté et derrière nous témoignait insolemment de cette évidence. De tout âge, de tout genre, de tout style. Le nombre de personnes rassemblées ici, à l'affût devant les caisses, devait se compter en milliers d'unités ; sans occulter ceux qui arrivaient continuellement, par petits groupes, pour venir grossir les queues qui en avaient nullement besoin.
                
    Mon esprit s'éveillait brusquement – et involontairement - lorsqu'il venait à repérer des sonorités étrangères : ainsi je surpris de l'anglais, de l'américain puis de l'espagnol, de l'allemand, du japonais...Le plus effrayant fut d'entendre du russe : c'était pour moi une première ! Même à Disney land, où j'allais une à deux fois l'année, je n'avais encore jamais rencontré de slaves...
               
               
    Voilà qui concluait que des étrangers étaient venus en France uniquement pour cela ! Alors l'événement était devenu, comme me l'avait certifié mon père la veille, planétaire...
    Que je m'en souvenais, de la veille...Car quelle surprise cela avait été hier pour moi, qui, bien enfoncée dans mon fauteuil du XVIIIe, s'apprêtais à regarder en famille le journal télévisé du vingt heures sur la deux. Moi qui habituellement, redoutais le lot quotidien d'horreurs que cela pouvait m'apporter, ne me doutais pas que ce que j'allais y découvrir m'inspirerait la joie. Car après tout – et nul ne peut en démentir – on pourrait rebaptiser le vingt heures tel que le « qu'est-ce qu'il ne va pas dans le monde », qui, par une malheureuse faiblesse de conscience, nous offre après les mauvaises nouvelles et les images « choc », une frêle note d'espoir.
               
    Mais ce soir là cela avait été vraiment différent. D'entrée, nous n'avions pas eu droit au compte rendu des attentats qui avaient secoué l'Irak, ni aux faits divers de plus en plus atroces, mais à une annonce qui j'en étais sûre, allait faire date dans l'histoire.

             
    « Mademoiselle, Madame Monsieur bonsoir. C'est aujourd'hui que viennent d'être achevés les dernier préparatifs du projet colossal du milliardaire Jean de Rochas, projet resté inconnu du public sous la directive de ce dernier pendant plus de cinq ans. En effet, c'est avec l'accord et la coopération de l'état, que « Fantasy land » a vu le jour tout près d'Armante. Caché aux habitants de cette petite ville de l'Aisne par une haie haute de douze mètres, « Fantasy land » promet d'être un parc d'attraction unique en son genre, puisque basé sur l'univers féerique de certains romans très célèbres notamment la saga « le seigneur des anneaux » dont l'adaptation au cinéma – je rappelle - a été récompensée par onze oscars et suscité près de cent dix millions d'entrées.  Nos invitées ce soir sont les deux vices-directrices du projet, Melle Brunet ainsi que Melle Claire qui ont accepté de nous parler plus en détail de ce fameux « Fantasy Land ». Nous leur donnerons la parole dans quelques instants.
        
    Mais tout de suite, voici le reportage de nos envoyés spéciaux sur le site d'Armante.»
    Le présentateur s'était tu et, en effet, l'on avait vu apparaître une fenêtre nous projetant des images du site.
               
    « Fantasy land, un nom qui fait rêver, un nom assit sur des centaines de millions d'euros. Son propriétaire, Mr. De Rochas, un milliardaire, qui tout jeune rêvait déjà de son monde à lui, s'est donné les moyens de réaliser son univers. En ajoutant Ainsi, il y a dix ans de cela, ayant contacté les meilleurs spécialistes jamais répertoriés dans le domaine artistique, architectural et jardinier, il traça les grandes lignes de son projet...De la finesse et beaucoup de fantaisie : un scénario tout droit tiré des grandes sagas à succès tel que le seigneur des anneaux... Des elfes, donc, mais aussi des milliers d'ouvriers ont participé à cette aventure qu'a été le chantier du parc d'Armante.(...)  
                 
    Dix ans plus tard, M. de Rochas se dit  ravi de la réussite que lui inspire Fantasy Land...et fin prêt à constater son sûr succès. Mais voilà, Fantasy Land sera-t-il le Grand Rêve que Mr. De Rochas promet au monde entier ? »
             
    Le reportage avait de nouveau laissé place à notre David Pujadas.


    « Alors, Mesdemoiselles bonsoir, justement pouvez-vous répondre à cette question ? Est-ce que Fantasy Land fera un triomphe ? »
    « Bonsoir. Et bien, euh, pour ma part, j'ai travaillé sur ce projet pendant plus de sept ans, j'y ait investi beaucoup de temps et euh...grâce au travail formidable de tous les artistes et de tous les ouvriers...Fantasy Land est devenu à mes yeux une représentation exemplaire – bien vivante qui plus est – de l'univers de la Fantasy. Pour ma part, je pense que oui, cela fera un triomphe. » avait débité assez maladroitement Melle Brunet.
           
    Pujadas se tourna – cherchant un secours à cette malheureuse intervention - vers Melle Claire :
    « Et d'après vous ? »
    Celle-ci hésita l'espace d'une seconde avant de déclarer :
    «  Je suis persuadée qu'il y a une multitude de personnes qui aiment cet univers, où tout est beau, où tout est mystérieux, où il y a cette architecture spéciale – celle des elfes par exemple – car c'est une ambiance qui se reproduit très rarement dans notre vie quotidienne.
    Vous savez il y a des gens qui cherchent à rêver, soit pour oublier les soucis ou la routine, soit tout simplement pour découvrir quelque chose d'inconnu et de nouveau...et Fantasy Land offre cela, mais en concret, ce qui fait la force de ce petit monde.
    -  Pouvez-vous nous dire à peu près ce que représente le parc en termes de dimensions et de chiffres ? (Pujadas ne s'adressait alors plus qu'à Melle Claire)
    -  Et bien Fantasy Land fait à peu près quatre fois le parc Disney Land en termes de dimensions...en termes de chiffres, on compte plus de dix milles arbres qui ont été plantés pour le besoin du parc, plus cinq cents bâtiments qui ont été construits également... 
    -  D'accord...Vous faites allusion à Disney land, justement ce parc est organisé selon plusieurs univers ; on a par exemple Adventure Land, Discovery Land...Qu'en est-il pour Fantasy Land ? Y-a-t-il également plusieurs...mondes ? 
    -  C'est-à-dire que c'est moins distinct ; tout fait partie d'un seul et unique univers – celui de l'héroïc fantasy – cependant nous avons dans Fantasy Land différents royaumes - le royaume des elfes, le royaume des fées... »
    Le présentateur hocha la tête en signe de compréhension.
    « Juste une dernière question : pourquoi l'équipe a-t-elle choisi Fantasy Land et non la traduction « Le monde de la fantasy » ?  »
    « Car après tout cela est un projet français ! Pourquoi avoir choisi d'angliciser le nom ? » s'empressa-t-il d'ajouter.
        
    « C'est une question à laquelle seul M. de Rochas pourra apporter une réponse car c'est lui et non l'équipe qui a choisi l'appellation « Fantasy Land » »  
    « Très bien. Merci à toutes les deux d'avoir bien voulu répondre aux questions de la rédaction ! »
    David Pujadas s'était de nouveau tourné vers ses téléspectateurs :
    « Nous vous informons que si vous voulez découvrir  Fantasy Land - l'adresse est affichée en bas de votre écran – vous devrez attendre demain neuf heures, heure de l'ouverture du premier jour. Pour plus d'information voyez tf1.fr ou le site officiel du parc. »

    Il avait marqué une pause puis avait repris :
    « Et maintenant les titres.
    Un attentat à Bagdad a fait aujourd'hui deux morts et quinze blessés... »



                   Quelques minutes avaient passées que j'étais encore sous le choc. Un choc qui dans un certain paradoxe m'était resté assez doux. Peut-être le devais-je à cette joie mêlée de surprise qui m'enivrait à ce moment-là. Toujours est-il que mes premiers mots, après le reportage, avaient l'allure d'un :
    « Sera condamné à perpétuité celui qui m'interdit, dans un élan de folie perverse, d'aller demain à l'aube dans ce parc!»
    Mes parents m'avaient alors regardé avec une réelle lueur d'étonnement, si bien que cela m'avait tout d'abord refroidit et effrayé. Nul doute qu'à l'égard d'une telle expression, mes illusions sur leur éventuelle réponse s'en trouvaient pour le moins inquiétées. 
                De féroces positions – ou oppositions – auraient pu résulter de mon audacieuse formulation ; cela pourtant, n'aurait eut guère d'importance et j'aurais coûte que coûte mené à bien mes projets. 
     A mon grand soulagement, mon angoisse et mon raisonnement salutaire n'avaient pas eu lieu d'être très longtemps. Mes parents – mon père plutôt – avaient murmuré un vague « si tu veux » et la question avait ainsi été réglée.
    Sur ce je m'étais empressée de me saisir du téléphone pour faire part de la nouvelle à ma grande amie Elise. Cependant je n'avais pas eu le plaisir de taper son numéro que déjà la sonnerie aiguë de l'objet avait retenti.
    « Allô ?
    -Allô, Anna ? C'est Elise ! Tu vas avoir du mal à me croire mais y a un parc d'attraction qui ouvre demain et... »
    Ne sais-je encore ce qui m'a poussé à couper court ainsi :
    « Oui, j'en ai entendu parler ! Ce serait génial si on pouvait y aller demain !
    -On va attendre trois plombes ! » avait jubilé mon amie.
    Sa prédiction, bien que présentée sur le ton de la plaisanterie, n'aurait pu être plus véridique.

    Car nous étions bien là, à attendre sous un soleil acharné depuis sept heures du matin. Pourtant, quelque chose me disait que pour rien au monde je n'aurais songé à laisser ma place à quelqu'un d'autre pour rentrer. Je ne pouvais le nier, j'étais très excitée – et très impatiente - à l'idée de découvrir un parc d'attraction de si grande envergure.

    D'ailleurs, au fur et à mesure que les minutes s'évaporaient, la bête qui rongeait mes entrailles devenait de plus en plus présente.
    Je me tournai vers Elise en la traversant d'un regard songeur : était-elle aussi impatiente que moi ?   
    Quelque part au fond de moi je me dis que oui, peut-être afin de me rassurer, peut-être également afin de ne pas troubler cette joie qui m'envahissait depuis la veille.
     
              
    Je ne saurais dire – n'ayant regardé ma montre ensuite – combien de temps nous attendîmes après les neuf heures fatidiques. Quinze, vingt, peut-être même trente minutes...
            Toujours est-il qu'à un moment, la musique, qui jusque à présent avait été insignifiante, s'arrêta brusquement. C'est Elise qui me le fit remarquer ; moi-même je n'en avais pas pris conscience.
    Ainsi si les préparateurs espéraient en cela un effet palpable en les réactions de la foule, c'était malheureusement peine perdue. Car je doutais que quelqu'un d'autre que nous eût remarqué l'événement, tant les conversations s'animaient de plus belle.

    Ce n'est que lorsque la musique reprit, mais à un niveau sonore nettement supérieur, que le silence s'imposa. Nous qui n'étions alors pas très loin des caisses – ni par conséquent très loin des enceintes, eûmes le loisir de se réjouir à l'écoute d'un refrain apocalyptique.

              La tension devint presque palpable ; un lent mouvement de foule poussait aux caisses, qui vu de loin donnait l'image d'une vague paresseuse venant mourir sur le sable.
    Cela s'écrasait, s'écrasait ; puis soudain, ce fut l'ouverture générale, et une véritable avancée se fit alors percevoir. 
     L'instant suivant, je déposais la petite somme afin de recevoir mon billet ; je crus sur le moment ne jamais avoir été plus heureuse et plus reconnaissante de voir reçu mon argent avec une telle satisfaction.
      Passées la caisse, nous nous retrouvâmes au centre d'une gigantesque place circulaire où s'engouffrait progressivement la foule ; ses dimensions semblaient avoir été conçues afin d'accueillir à elle seule un très grand nombre de personnes, ce dont en ce jour il y avait besoin.



                Son sol pavé était recouvert par endroit de motifs en feuilles dorées ensemble une large rose des vents :
     Cette dernière avait huit pointes chacune, se distinguant ostensiblement du cercle dont elles avaient pour base, étant à leurs atours richement décorée d'un personnage représentatif de différentes espèces.
       Ainsi celle du Nord, qui pointait vers les caisses – soit vers la sortie derrière nous – se voyait orne d'un couple d'humains tandis que celle du Sud, qui pointait devant nous, était accompagnée d'une elfe en longue robe.

     

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  •        Eh oui des romans des romans... j'en ai écrit des tonnes et des tonnes mais que des débuts... Et c'est bien cela qui me dérange le plus, de n'afficher qu'un début et de ne pas poursuivre, me dire que je ne suis pas assez bonne pour tous les finir, mes projets, ...
         Mais enfin comme je suis assez têtue pour me dire " celui-là je le finirai " pour chaque nouvelle idée qui me vient en tête... Il faut dire que déjà l'environnement de ce nouveau projet me tient à coeur, alors pour une fois j'espère que vraiment ce sera le bon.

    Voilà mes phrases sont bien décousues je l'avoue, mais mon roman présent est orienté héroïc fantasy. Pas besoin de chercher le début ou la suite, j'ai décidé de mettre tout d'un bloc, à vous de vous y retrouver (car il n'y a pas d'autres solutions).

    Des questions? postez donc un petit commentaire! Ca fait toujours plaisir d'apporter des réponses!


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  •                            Orgueil et Préjugés
                                
    (de Jane Austen)

    Résumé : La famille Bennet, peu fortunée, et surtout Mrs.Bennet, voudrait voir ses cinq filles se marier avec des gens de condition afin d'élever son rang. Alors quand on apprend que de riches gentlemen s'arrêtent quelque temps près du domaine de celle-ci, tous les espoirs deviennent vite permis... mais à quel prix?

    Avis : Plus attachant et moins long que Emma, jouissif et surprenant... On reconnait bien là le style de Jane Austen qui ne veut jamais faire désespérer ses lecteurs ! On se plait à faire des paris quant aux issues des rencontres entre gentlemen et Misses Bennet.

    ps : ne vous fiez pas à la photo c'est un très bon roman.


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